
L’ADN environnemental pour une cartographie inédite de la biodiversité marine méditerranéenne
Sous l’impulsion conjointe de l’Agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse, de l’Université de Montpellier et d’un laboratoire commun financé par l’ANR entre l’Unité de Recherche MARBEC et l’entreprise SpyGen, la Mission BioDivMed 2023 va réaliser un inventaire du vivant synchronisé et standardisé sur le littoral méditerranéen français et le sanctuaire Pelagos par l’utilisation de l’ADN environnemental (ADNe).
Ce partenariat inédit et exemplaire au service de la biodiversité marine associe également la société Andromède Océanologie, l’alliance Vigilife et deux associations philanthropiques de Nice : OceanoScientific et We are Méditerranée.
Cette opération exceptionnelle va permettre de cartographier pour la première fois, à fine échelle et de manière synchrone, la biodiversité marine en Méditerranée française, de la zone côtière, y compris lagunes, les embouchures de fleuves et les ports, jusqu’au sanctuaire Pelagos entre la Corse et le continent.
700 échantillons d’ADNe sur 2 000 kilomètres
L’objectif de la Mission BioDivMed ? Déterminer et mieux comprendre les occurrences des espèces de poissons, de crustacés et de mammifères marins puis établir une véritable cartographie à fine échelle de la biodiversité marine. Pour ce faire, la technologie de l’ADN environnemental (ADNe) sera utilisée pour permettre un inventaire standardisé de la Méditerranée mené de façon synchronisée par quatre campagnes d’échantillonnage : pendant quatre mois, plus de 700 filtrations d’ADNe seront effectuées dans les eaux marines et saumâtres s’étalant sur plus 2 000 kilomètres.
Le metabarcoding de l’ADNe est une nouvelle technologie qui permet d’inventorier la biodiversité aquatique via les traces ADN laissées par les espèces dans leur environnement. La filtration et l’analyse de l’ADNe permettent la détection de nombreuses espèces et présente donc un fort potentiel pour développer une nouvelle génération d’indicateurs de l’état de santé des eaux marines sous impact humain ou mesures de protection.
Jamais un tel inventaire synchronisé et standardisé en faveur de la biodiversité marine n’a été engagé sur le territoire français.
Cette mission marque un vrai tournant dans la manière dont on évalue la biodiversité marine. L’ADN environnemental permet non seulement une détection fine, mais aussi un suivi beaucoup moins intrusif des milieux fragiles. Il serait intéressant que cette méthode soit étendue aux zones portuaires et industrielles, souvent oubliées dans les diagnostics.
Pour aller plus loin sur la question de la qualité des milieux aquatiques et des sols pollués, voici une ressource utile : [url=https://www.perleman.ch]ce site spécialisé en environnement</url]. Il aborde les problématiques de dépollution, de suivi écologique et de reconversion des espaces dégradés.
Une initiative exemplaire à saluer ! L’utilisation de l’ADN environnemental pour dresser un état de la biodiversité marine à cette échelle est une avancée majeure, à la fois scientifique et stratégique. Ce type d’approche ouvre aussi la voie à des outils de suivi écologique applicables à d’autres milieux impactés.
Pour celles et ceux qui s’intéressent aux liens entre pollution, écosystèmes aquatiques et restauration écologique, je recommande ce site spécialisé : [url=https://www.perlenvironnement.com]www.perlenvironnement.com[/url] — il propose des contenus utiles sur les milieux dégradés, y compris littoraux et portuaires.
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